aucuns avertisements.
Anéantie,je le suis,mon coeur se débat à
l'idée de te laisser partir,mais
je crois que la Mort n'existe pas que
ton esprit continuera à grandir !
Je crois que les larmes guérissent
et que les souvenirs réconfortent.
Tu à maintenant trouvé la sérénité et la paix,
après avoir courageusement lutté contre la maladie.
On fait souvent,comme si on ne venait à l hôpital que
pour guérir,alors qu'on y vient aussi pour mourir.
Je pense à tous ceux qui souffrent et qui se
battent de toutes leurs forces avec optimisme !
J'ai beaucoup d'admiration pour eux.
Nous oublions parfois que la vie est si fragile,
si fragile et si précieuse.
Un jour viendra ou la souffrance s'atténuera ,ou
je parlerai de toi sans pleurer,ce jour-là,
j'aurais fait mon deuil.
Il faut du temps et de la patience.
Nos rythmes de vie nous font oublier l'impérieuse nécessité
de prendre le temps pour profiter des étincelles de vie,de bonheur,
donner toute sa place à ce qui est essentiel pour chacun d'entre nous :
le sourire,un câlin, un rayon de soleil dans les feuilles d'un arbre ou
tout simplement être entourer de ceux qu'ont aiment.
Avancer pleinement en les vivant à fond ,ces étincelles de vie
en gardant au fond de soi,au coeur de soi,
ceux qui ne sont plus là,mais qui existent en nous.
Garder son courage pour continuer à avancer et surtout
d'aimer la vie pour tous ceux qui nous restent;
soyons forts.
Tout passe.Comme la marée monte et redescend.
Il y aura toujours des moments à marées basses,
mais ils seront nécessairement suivis de marées hautes.
Il faut y croire.
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