dimanche 17 avril 2011

La vie est ton combat!

Depuis la maternelle au secondaire,
j'ai grandie dans un miilieu scolaire stressant.
Fallait que j'étudie comme une acharnée pour réussir,
tout n'était pas tout cuit avec moi.
C'était un millieu,que,je ne me sentait pas à ma place.

Arriver au secondaire en peur,je me suis faite remarquer encore plus,
moi qui voulais pas cela,j'était la rejet de l'école.
Ont m'a beaucoup mépriser,ont riait de 
moi et les garçons me trouvaient laide.
A chaque jour,c'était la honte,en me réveillant le matin,la peur 
de me dire,que je vais être encore 
traiter comme la pire des merdes 
et que je préférais crever que d'y aller.

Il m'arrivait souvent de jouer le rôle d'une malade,
pour ne pas y mettre les pieds,spécialement,quand,j'avais un 
exposé oral à faire,car,je savais ce qui m'entendais par la suite.
Jai vécue en étant toujours sur mes gardes et à être stressée pour voir 
qui me jetera la première pierre.
Je ne me suis jamais sentie bien et j'étais
incapable de saisir ce qui m'arrivais.
Je manquait de confiance en moi.

J'ai vécu une période de dépression suicidaire,
l'impression de ne pas avancer,qui n'avais rien devant moi.
J'étais incapable d'aller vers les gens,tellement que la peur m'envahisait.
Pas capable de m'abandonner,car,pour moi cela signifiait de leurs donner une
opportunité de me blesser.

J'aurais fait n'importe quoi pour avoir simplement
un peu d'amour et d'appréciation que souvent cela me mettait les pieds 
dans les plats et qu'ont en profitaient dans le temps-là pour m'utiliser.

Cela à créer en moi un profond dégoût du monde.
Ce qui me répugnait le plus,c'était ma propre existance.
A quoi bon de continuer à vivre avec un tel fardeau à chaque jours.
Pourquoi poursuivre cette lutte.Je sentait au plus profond de moi,le désir de
ne plus exister.Ce désir prenait largement le pas sur la pulsion
instinctive de survivre.
Je ne peux vivre avec moi-même,cette pensée me revenait sans cesse 
à l'esprit.

A chaque fois qu'ont me bousculait ou ricanait de moi.
Mon premier réflexe était de ne même par regarder ceux qui me faisaient mal,mais de regarder
autour de moi les gens qui étaient la avec leurs regards posé sur moi.Je me sentait petite
que j'aurais pu m'éffacer.A l'école,à l'intérieur de moi,se trouvais un petit diable qui voulait
tous saccagé et vengé ceux qui m'ont fait du mal et qui me faisaient sentir comme si j'était rien.

Rêver je voyait cela comme une place pour s'enfuir 
et non comme la possibilité
d'accomplir quelques choses.


Rendue à la fin du secondaire,j'ai découvert la poésie.
A travers l'écriture,j'ai pu me libérer de toute cette rage-là,
de gérer ainsi ce qui m'arrivait.
Le fait de rentrer dans ma chambre et de
fermer ma porte,de fermer la porte à toute cette 
univers là et de partir dans mes pensées,
me redonnait force et courage.
Je me suis remisse à vivre.

Aujourd'hui j'ai l'impression de parler d'une vie passé ou de
la vie de quelqu'un d'autre.
Je te le dit:La vie et une lutte permanente et ne baisse jamais les bras.
Elle et aussi un défi, fais-lui face,elle et precieuse et tellement belle.
Mords là à pleine dents et
Relève toi la vie est ton combat.

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